Violences faites aux femmes : " La classe politique marocaine est trop lente "
Le calvaire subit par Khadija, une jeune fille de 17 ans séquestrée, violée et torturée, secoue le Maroc depuis la mise en ligne de son témoignage en vidéo, le 21 août. Khadija Ryadi, ancienne présidente de l'Association marocaine des droits humains (AMDH), évoque un problème de fonds et met en cause le retard dans l'adoption de la loi protégeant les victimes, qu'elle juge par ailleurs " insuffisante ".
from JeuneAfrique.comMaroc - JeuneAfrique.com http://bit.ly/2wlIhu5
via MarocNewz
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